Les mardis de l'espace : Notre galaxie révélée par Gaia

    Résumé

    D’innombrables gouttes de lait tombées du sein de la déesse Junon tandis qu’elle allaitait Hercule. Voilà comment les anciens interprétaient la large bande blanche qui barre nos ciels nocturnes… Il faudra attendre Galilée et sa lunette astronomique en 1610 pour prendre conscience qu’il s’agit en fait d’une multitude d’étoiles tellement concentrées que notre œil ne peut les séparer. Le satellite Gaia, lui, le peut. Et c’est même son objectif : observer plus d’un milliard d’étoiles de notre Galaxie pour calculer leur position sur le ciel et leur distance. Et construire enfin une carte en trois dimensions de la Voie Lactée et de sa majestueuse révolution sur elle-même : l’équivalent de la photo que prendrait une sonde envoyée hors de la Galaxie pour l’observer de l’extérieur. Après plus de deux ans d’observations, le point sur les premiers résultats de Gaia. Les intervenants : Olivier La Marle, CNES ; François Mignard, CNRS/Observatoire de la Côte d’Azur.

    Dossier

    Podcasts/Les mardis de l'Espace

    Notes

    D’innombrables gouttes de lait tombées du sein de la déesse Junon tandis qu’elle allaitait Hercule. Voilà comment les anciens interprétaient la large bande blanche qui barre nos ciels nocturnes… Il faudra attendre Galilée et sa lunette astronomique en 1610 pour prendre conscience qu’il s’agit en fait d’une multitude d’étoiles tellement concentrées que notre œil ne peut les séparer. Le satellite Gaia, lui, le peut. Et c’est même son objectif : observer plus d’un milliard d’étoiles de notre Galaxie pour calculer leur position sur le ciel et leur distance. Et construire enfin une carte en trois dimensions de la Voie Lactée et de sa majestueuse révolution sur elle-même : l’équivalent de la photo que prendrait une sonde envoyée hors de la Galaxie pour l’observer de l’extérieur. Après plus de deux ans d’observations, le point sur les premiers résultats de Gaia. Les intervenants : Olivier La Marle, CNES ; François Mignard, CNRS/Observatoire de la Côte d’Azur.

     

    Identification

     
    RéférenceCNES-2020-00557
    Etat documentvalide
    Type de documentdocument sonore
    LangueFrançais
    CopyrightCNES - Mars 2017
     

    Titres

     
    TitreLes mardis de l'espace : Notre galaxie révélée par Gaia
    Sous-titre21 mars 2017
    Titre de collectionLes mardis de l'espace
     

    Publication

     
    AccèsGrand public
     

    Date et durée

     
    Durée01:48:58
    Date de production21/03/2017
     

    Indexation

     
    GenreDébat, podcast
    ProductionCNES
     

    Textes

     
    RésuméD’innombrables gouttes de lait tombées du sein de la déesse Junon tandis qu’elle allaitait Hercule. Voilà comment les anciens interprétaient la large bande blanche qui barre nos ciels nocturnes… Il faudra attendre Galilée et sa lunette astronomique en 1610 pour prendre conscience qu’il s’agit en fait d’une multitude d’étoiles tellement concentrées que notre œil ne peut les séparer. Le satellite Gaia, lui, le peut. Et c’est même son objectif : observer plus d’un milliard d’étoiles de notre Galaxie pour calculer leur position sur le ciel et leur distance. Et construire enfin une carte en trois dimensions de la Voie Lactée et de sa majestueuse révolution sur elle-même : l’équivalent de la photo que prendrait une sonde envoyée hors de la Galaxie pour l’observer de l’extérieur. Après plus de deux ans d’observations, le point sur les premiers résultats de Gaia. Les intervenants : Olivier La Marle, CNES ; François Mignard, CNRS/Observatoire de la Côte d’Azur.
    DossierPodcasts/Les mardis de l'Espace
    ThèmeSciences spatiales
    Mot-clégalaxie; cartographie; Gaïa; Univers; astrométrie; La Marle Olivier; Mignard François
    Mot clé sequencequasar; trou noir; exoplanète; étoile; comète
    NotesD’innombrables gouttes de lait tombées du sein de la déesse Junon tandis qu’elle allaitait Hercule. Voilà comment les anciens interprétaient la large bande blanche qui barre nos ciels nocturnes… Il faudra attendre Galilée et sa lunette astronomique en 1610 pour prendre conscience qu’il s’agit en fait d’une multitude d’étoiles tellement concentrées que notre œil ne peut les séparer. Le satellite Gaia, lui, le peut. Et c’est même son objectif : observer plus d’un milliard d’étoiles de notre Galaxie pour calculer leur position sur le ciel et leur distance. Et construire enfin une carte en trois dimensions de la Voie Lactée et de sa majestueuse révolution sur elle-même : l’équivalent de la photo que prendrait une sonde envoyée hors de la Galaxie pour l’observer de l’extérieur. Après plus de deux ans d’observations, le point sur les premiers résultats de Gaia. Les intervenants : Olivier La Marle, CNES ; François Mignard, CNRS/Observatoire de la Côte d’Azur.
    SonSonore