La sonde européenne Rosetta est arrivée au voisinage de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko à l’été 2014. Quelques mois plus tard, le petit atterrisseur Philae s’est posé sur la comète de façon acrobatique. Philae a néanmoins fonctionné avec succès durant 3 jours jusqu’à épuisement de sa pile. Depuis la sonde a effectué un grand nombre de découvertes sur la structure et le fonctionnement de la comète qui seront discutées. Fin septembre, la sonde se posera sur la comète lors d’un atterrissage qui clôturera en beauté la mission. Cette dernière phase permettra des analyses et des observations à très faible distance du noyau qui viendront enrichir la moisson de données déjà engrangée. Les phases de survol à proximité de la surface ont et seront mises à profit pour repérer Philae sur la surface ce qui permettrait de mieux comprendre les raisons de son réveil erratique et les problèmes de communication rencontrées au début de l’été 2015. Les intervenants : Francis Rocard, CNES ; Sylvain Lodiot, ESA.
Podcasts/Les mardis de l'Espace
La sonde européenne Rosetta est arrivée au voisinage de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko à l’été 2014. Quelques mois plus tard, le petit atterrisseur Philae s’est posé sur la comète de façon acrobatique. Philae a néanmoins fonctionné avec succès durant 3 jours jusqu’à épuisement de sa pile. Depuis la sonde a effectué un grand nombre de découvertes sur la structure et le fonctionnement de la comète qui seront discutées. Fin septembre, la sonde se posera sur la comète lors d’un atterrissage qui clôturera en beauté la mission. Cette dernière phase permettra des analyses et des observations à très faible distance du noyau qui viendront enrichir la moisson de données déjà engrangée. Les phases de survol à proximité de la surface ont et seront mises à profit pour repérer Philae sur la surface ce qui permettrait de mieux comprendre les raisons de son réveil erratique et les problèmes de communication rencontrées au début de l’été 2015. Les intervenants : Francis Rocard, CNES ; Sylvain Lodiot, ESA.
Référence | CNES-2020-00552 |
Etat document | valide |
Type de document | document sonore |
Langue | Français |
Copyright | CNES - Octobre 2016 |
Titre | Les mardis de l'espace : L’ultime baiser de Rosetta |
Sous-titre | 18 octobre 2016 |
Titre de collection | Les mardis de l'espace |
Accès | Grand public |
Durée | 01:50:22 |
Date de production | 18/10/2016 |
Résumé | La sonde européenne Rosetta est arrivée au voisinage de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko à l’été 2014. Quelques mois plus tard, le petit atterrisseur Philae s’est posé sur la comète de façon acrobatique. Philae a néanmoins fonctionné avec succès durant 3 jours jusqu’à épuisement de sa pile. Depuis la sonde a effectué un grand nombre de découvertes sur la structure et le fonctionnement de la comète qui seront discutées. Fin septembre, la sonde se posera sur la comète lors d’un atterrissage qui clôturera en beauté la mission. Cette dernière phase permettra des analyses et des observations à très faible distance du noyau qui viendront enrichir la moisson de données déjà engrangée. Les phases de survol à proximité de la surface ont et seront mises à profit pour repérer Philae sur la surface ce qui permettrait de mieux comprendre les raisons de son réveil erratique et les problèmes de communication rencontrées au début de l’été 2015. Les intervenants : Francis Rocard, CNES ; Sylvain Lodiot, ESA. |
Dossier | Podcasts/Les mardis de l'Espace |
Thème | Sciences spatiales |
Mot-clé | Rosetta; Philae; comète; Tchourioumov-Guerassimenko comète; Rocard Francis; Lodiot Sylvain |
Notes | La sonde européenne Rosetta est arrivée au voisinage de la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko à l’été 2014. Quelques mois plus tard, le petit atterrisseur Philae s’est posé sur la comète de façon acrobatique. Philae a néanmoins fonctionné avec succès durant 3 jours jusqu’à épuisement de sa pile. Depuis la sonde a effectué un grand nombre de découvertes sur la structure et le fonctionnement de la comète qui seront discutées. Fin septembre, la sonde se posera sur la comète lors d’un atterrissage qui clôturera en beauté la mission. Cette dernière phase permettra des analyses et des observations à très faible distance du noyau qui viendront enrichir la moisson de données déjà engrangée. Les phases de survol à proximité de la surface ont et seront mises à profit pour repérer Philae sur la surface ce qui permettrait de mieux comprendre les raisons de son réveil erratique et les problèmes de communication rencontrées au début de l’été 2015. Les intervenants : Francis Rocard, CNES ; Sylvain Lodiot, ESA. |
Son | Sonore |
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